Linxens, spécialisé dans les micro-connecteurs, antennes RFID et biocapteurs, étend le périmètre de son activité dans les objets connectés en reprenant l’équipe de l’ex start-up clermontoise Yesitis. Le groupe français, sous contrôle chinois, enrichit ainsi son expertise IoT pour proposer à ses clients, une offre complète, de la conception du composant électronique à l’intégration de la technologie digitale.
Linxens, groupe industriel international basé en France et expert dans la conception et la fabrication de micro-connecteurs pour carte à puce, antennes et inlays RFID, étend son expertise dans le domaine de la santé en devenant actionnaire majoritaire de Nile, une entreprise suédoise dédiée au développement et à la production de patchs intelligents, des produits d’électronique imprimée fonctionnalisés pour le marché médical.
Linxens, SPS-IN Groupe et STMicroelectronics ont présenté un module intégrant la technologie EVC All-In-One de la start-up californienne Ellipse permettant d’améliorer la sécurité des transactions de e-commerce en modifiant le cryptogramme à trois chiffres d’une carte bancaire à chaque transaction.
C’est le plus gros rachat de l’été dans l’électronique, mais il n’a pas encore été officialisé. Selon Bloomberg et Reuters, le chinois Tsinghua Unigroup, bras armé des autorités chinoises dans la stratégie semiconducteurs du pays, aurait signé un accord pour racheter le spécialiste français de la connectique pour cartes à puces Linxens (ex-FCI Microconnections) au fonds d’investissements CVC Capital. Le montant du rachat atteindrait 2,2 milliards d’euros.
Le Français Linxens, spécialiste de la conception et de la production de connecteurs de cartes à puce, inlays et sources lumineuses LED, annonce l’acquisition de la division SIT (Secure ID & Transaction) du Néerlandais Smartrac, qui développe et produit des antennes et des inlays RFID. La finalisation en fin d’année de cette acquisition, dont le montant n’a pas été dévoilé, doit conduire l’ancienne filiale de FCI à passer d’un chiffre d’affaires de 320 M€ en 2015 à plus de 500 millions d’euros.
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